Une étude quinquennale à Butembo révèle une prévalence des anomalies du spermogramme de 22,9% chez les hommes, atteignant 46% chez ceux en infertilité. L'oligoasthénotératozoospermie prédomine. L'étude suggère des examens complémentaires (bactériologiques et biochimiques) pour diagnostiquer et traiter efficacement l'infertilité masculine.