Les patients utilisent divers mécanismes de défense face à la maladie, certains adaptatifs, d'autres non. Les mécanismes adaptatifs, comme l'acceptation, l'humour, la sublimation, la recherche de soutien et le coping centré sur le problème, favorisent l'adaptation et l'équilibre émotionnel. A l'inverse, des mécanismes non-adaptatifs tels que le déni, la projection, la rationalisation, la régression, la répression, l'isolement affectif et le clivage, bien que procurant une protection à court terme, peuvent nuire à long terme à la gestion de la maladie. Ces derniers peuvent entraver le traitement et créer des tensions.