Lakhasly

Dans notre société Algérienne, la violence fait quasiment partie de notre quotidien. Elle est présente dans la rue, les écoles, les transports en commun, les milieux de travail mais également à la télévision et surtout dans les stades de football. Avec ses effets dévastateurs et ses répercussions négatives, elle et devenu plus en plus menaçante sur ses victimes et la société en générale. La violence sur le lieu de travail dans l'environnement sanitaire est un problème croissant dans le monde. La violence en service de santé est inacceptable et peut avoir de graves conséquences sur les victimes, qu'elles soient des patients ou du personnel. Elle peut entraîner des traumatismes physiques et psychologiques, une détérioration de la confiance dans le système de santé et une dégradation de la qualité des soins. Il est essentiel de mettre en place des mesures pour prévenir et combattre la violence en service de santé. Cela comprend des politiques de tolérance zéro à l'égard de la violence, la sensibilisation et la formation du personnel sur la prévention de la violence, la mise en place de protocoles de signalement et de soutien aux victimes, ainsi que des mécanismes de responsabilisation pour les auteurs de violence Il est important de souligner que la violence en service de santé n'est pas une réalité dans tous les établissements de santé et que la majorité des professionnels de la santé s'engagent à fournir des soins de qualité dans un environnement sûr et respectueux. Cependant, il est crucial de reconnaître l'existence de ce problème et de travailler collectivement à sa prévention et à son élimination. Selon Le ministère de la Santé, L'Algérie a enregistré 203 cas de violence contre des médecins et des infirmiers pendant la pandémie covide19 tandis que la consultation exceptionnelle menée par l'ordre national des infirmiers en avril 2020 révélait ainsi (que 12% des infirmiers ont subi des pression menaces ou injures en rapport à leur profession pendant et que 6% déclaraient avoir subi une agression visant à leur dérober du matériel). Le service des urgences est un porte ouverte sur la ville, premier lieu d'accueil Il a été identifié comme un milieu à haute risque de violence, les infirmiers des urgences sont les plus exposés à ce phénomène. La présence de la violence entre soignant soigné aux urgences provoque le stress, l'anxiété, la dépression, l'épuisement professionnel (sur la plan physique émotionnel, et cognitif), en outre elle provoque des conséquences sur leur travail telles qu'une baisse d'efficacité et la démotivation, donc elle empêche le patient à emporter une prise en charge optimale.

Dans notre société Algérienne, la violence fait quasiment partie de notre quotidien. Elle est
présente dans la rue, les écoles, les transports en commun, les milieux de travail mais également
à la télévision et surtout dans les stades de football. Avec ses effets dévastateurs et ses
répercussions négatives, elle et devenu plus en plus menaçante sur ses victimes et la société en
générale.
La violence sur le lieu de travail dans l'environnement sanitaire est un problème croissant
dans le monde.
La violence en service de santé est inacceptable et peut avoir de graves conséquences sur les
victimes, qu'elles soient des patients ou du personnel. Elle peut entraîner des traumatismes
physiques et psychologiques, une détérioration de la confiance dans le système de santé et une
dégradation de la qualité des soins. Il est essentiel de mettre en place des mesures pour prévenir
et combattre la violence en service de santé. Cela comprend des politiques de tolérance zéro à
l'égard de la violence, la sensibilisation et la formation du personnel sur la prévention de la
violence, la mise en place de protocoles de signalement et de soutien aux victimes, ainsi que des
mécanismes de responsabilisation pour les auteurs de violence Il est important de souligner que
la violence en service de santé n'est pas une réalité dans tous les établissements de santé et que la
majorité des professionnels de la santé s'engagent à fournir des soins de qualité dans un
environnement sûr et respectueux. Cependant, il est crucial de reconnaître l'existence de ce
problème et de travailler collectivement à sa prévention et à son élimination.
Selon Le ministère de la Santé, L'Algérie a enregistré 203 cas de violence contre des
médecins et des infirmiers pendant la pandémie covide19 tandis que la consultation
exceptionnelle menée par l'ordre national des infirmiers en avril 2020 révélait ainsi (que 12% des
infirmiers ont subi des pression menaces ou injures en rapport à leur profession pendant et que
6% déclaraient avoir subi une agression visant à leur dérober du matériel).
Le service des urgences est un porte ouverte sur la ville, premier lieu d'accueil Il a été
identifié comme un milieu à haute risque de violence, les infirmiers des urgences sont les plus
exposés à ce phénomène.
La présence de la violence entre soignant soigné aux urgences provoque le stress, l'anxiété, la
dépression, l'épuisement professionnel (sur la plan physique émotionnel, et cognitif), en outre
elle provoque des conséquences sur leur travail telles qu'une baisse d'efficacité et la
démotivation, donc elle empêche le patient à emporter une prise en charge optimale.